Rosalyn s'attarda au salon, pensant que son frère allait lui dire autre chose, mais ce ne fut pas le cas, car seul son regard prouva qu'il y avait bien pire entendu à ce sujet.

-Dit moi mon cher frère qu'y a-t-il ?

Emmanuel ne sembla ne même pas avoir bougé, il ne savait plus trop quoi dire, en disait-il trop à sa soeur comme si quelque chose l'empêchait de dévoiler les informations qui troublaient ses pensées. Emmanuel sentait le regard de sa soeur sur lui, il n'avait guère menti dans sa vie à Rosalyn, mais afin de la protéger du mal qu'il pressentait, il n'en dit point un mot. Yannik était dans la chambre des enfants que sa femme portait il préparait les deux basinettes. Yannik voyait grand, la chambre des enfants allaient être spacieuse. Bien sûr Rosalyn n'était pas au courant de ce que préparait son mari, elle était trop préoccupée pas ce que son frère lui avait dit. Elle commença par imaginer une sanglante bataille. Puis reprit ses esprits et se dit qu'une bataille de ce genre n'était pas arrivée depuis des décennies.

13 mai, c'est aujourd'hui les examens de fin de session de Yannik et de Rosalyn. Yannik alla se renseigner sur le local où allait ce passé son examen. Il était inscrit que pour tous les élèves qui devaient passer leur examen de médecine supérieure de se présenter aux urgences de l'hôpital local. Il embrassa ça bien aimée puis partie en direction de l'hôpital. Quant à Rosalyn, celle-ci devait se présenter au département d'anthropologie d'Harvard. Harvard était bien grand et le centre d'anthropologie est à l'autre bout de campus, Rosalyn pris donc la décapotable noire et alla à son examen. Leur examen était respectivement de quatre et cinq heures. Ils avaient une telle mémoire que Rosalyn au bout d'une heure avait terminé l'ensemble de l'examen, pour Yannik cela prit un peu plus de temps deux heures et trente minutes pour être plus exacte. Ils repartirent donc vers la maison, étant donné qu'ils n'avaient pas de cours du reste de la journée, Rosalyn dit alors a Yannik :

-Ça été ton examen ?
-Moi ça été vraiment facile, mais il y avait beaucoup questions ! dit Rosalyn
-Je savais qu'un examen théorique serais passé, mais alors que les instructions sont arrivées, je me suis rendu compte qu'une autopsie aurait lieu. Mais dans l'ensemble tout s'est bien passé.
- Je suis bien heureuse pour toi !

Tout deux se questionnèrent sur leur examen respectif, en posant des questions tels que : combien de questions au teste théorique et qu'as-tu fais de particulier pendant ton teste de pratique. Ce genre de choses. Ils se regardèrent tous droit dans les yeux et alors la Rosalyn su que son époux désirait quelque chose de chaud. Rosalyn regarda sur la table de la cuisine et aperçus le journal du jour précédant qu'elle n'avait pas eu le temps de lire, elle fit donc signe à Yannik de monter et lui dit qu'elle arriverait sous peu. Elle se mit donc à lire l'article.

Meurtre en quelque sorte dans un quartier de riches.
Les policier sont arrivés après avoir reçu un appel d'une jeune dame, dont le nom ne peut être révélé à l'heure actuelle. Une simple visualisation du corps par des experts ont révélé que le couple de marier ont été massacrés par quelque chose possédant des dents bien aiguisés, je ne saurais quoi vous répondre, le couple sort chaque soir afin de prendre une bonne marche d'environ une bonne trentaine de minutes. Si je sais cela c'est que moi-même je cours le soir pendant le temps qu'eux prennent leur marche. Je suis étudiante à la fac, je vise beaucoup le sport et je dois m'entraîner a fond. Croyez-vous que quelqu'un voudrais s'en prendre à un couple aussi parfait que vous le dites ? Non ils sont très bien respecté dans le coin, ils ont fait de ce quartier un paradis en quelque sorte, il y a quelques mois qu'ils sont emménager déjà, dès leur arrivées que n'en croyais pas mes oreilles, aucun des voisins ne critiquaient. Ils ont instauré une sorte de protections dans lequel tous se trouvait protégé en notant les sorties et les retours de leurs propres voisins à partir de 20 heures le soir. Tout a toujours bien fonctionné jusqu'à maintenant. Bien sûr les policiers ont demandé aux habitants du quartier de bien vouloir leur fournir les annotations que tous avaient pris la peine de conserver...

Sur cette phrase Rosalyn ferma le journal puis le mit au recyclage, elle savait très bien l'origine de ce meurtre, qui ne peut en dire plus. Rosalyn monta vite les escaliers puis pénétra dans la grande chambre sans y trouver son grand amour absent, c'est alors qu'elle entendit de l'eau couler, elle entra dans la pièce de résistance, la salle de bain priver de la chambre des maître. Yannik était déjà dans le bain tourbillon, il fit donc signe à sa douce de venir le rejoindre, il y avait de la mousse qui sentait la lavande et des pétales de roses puis pour clôturé le tout de belles chandelles ayant un design de fleurs. À cette vue Rosalyn oublia totalement l'article qu'elle venait de lire et approcha de son tendre pour lui donner un beau baiser de remerciement. Ils prirent donc leur bain coller l'un à l'autre, se lavant et se rinçant, puis ils sortirent et se dirigèrent vers la chambre, Rosalyn se coucha et s'endormit peu de temps après. La nuit fut bien agitée en mauvais rêves, Rosalyn se retrouva sur la scène de crime de l'endroit qu'elle avait lu. Elle reconnaissait cet endroit, c'était la maison qu'elle et sa famille avait quitté pour la nouvelle villa dans le Cambridge au Massachussetts. Aucun vampires n'osaient approcher l'ancienne maison quand la famille Pattisson y habitait, car ils savaient que le territoire était déjà pris. Mais aujourd'hui ils n'y sont plus et ces pauvres habitants ne sont plus aussi bien protégés qu'au par avant. Le grand jour approchait, la famille allait bientôt s'agrandir de nouveau, il y a maintenant deux ans Rosalyn eu deux jolies petites filles et bientôt allais arriver deux garçons. Rosalyn bougeait beaucoup, dans quatre mois ils seraient là et elle pourrait enfin être à la maison pour étudier tranquillement et à s'occuper des garçons.

Tout en haut au nord dans le pays voisin, dans la province de l'Alberta, un groupe se réunit. Le clan des Chipewayn, loups de générations en générations sautant quelques rares fois une génération. Le clan n'est pas que pour les hommes, les femmes y sont aussi à leurs places, car la famille qui n'a pas eu de garçons se voient donc confié à une femme. En général, ceci ce transmet de père à fils, mais dans le cas contraire, de père en fille. Une vieille dame assez âgée, est une grande prêtresse qui voit aussi certaines choses et qui peu aussi créée chez quelqu'un, une sorte de vision intérieure qui a l'air bien réel. Un danger imitant allait bientôt frapper l'Alberta, mais aussi tout un réseau de vampires dans cette région. Cependant, bien que le danger était inévitable pour et que leur nombre n'est pas très accrus les loups ne devront sans aucun doute faire appel aux vampires qui un jour les a sauvés il y a bien longtemps de cela. En 1945, alors que la guerre est terminée, un groupe venu de l'Europe, deux beaux jeunes hommes accompagner de trois merveilleuses jeunes fille, la peau pâlotte et très peu habillées comme si elles avaient chaud, avaient sur eux un immense secret pour une si petite population en cette période d'automne au Canada. L'une d'elles, était plus petite de grandeur, la seconde semblait être dans la vingtaine et la troisième, semble être une mère de famille qui accompagnée de ses deux filles et de son garçon ainsi que de son mari. Mais les apparences sont parfois trompeuses, la seconde femme est âgée de 22 ans et ne connait que la vengeance d'avoir perdu son mari à la guerre. Son nom est Angélique, elle vient de la Russie. Un jour plus tôt dans son enfance, Angélique avait une grande famille qui fut abattue par un groupe de mercenaire venu de la Corée du Nord, elle fut alors la seule survivante des Marlov. Angélique fêta alors ses 22 ans avec les quelques amis qui lui restaient, dans la nuit qui suivi, elle mourut tuée par un animal. Elle n'était pas vraiment morte, quelqu'un l'avait transformé, personne ne l'avait réellement vue mourir. ( Voici une bonne partie de mes textes. )