Hello !

Comme indiquer dans les règles, voici le test qui m'a fait entrer chez les écrivains :

Citation :

Je m'appelle Valentina Udinov mais, mes amis me surnomment Vava ou encore Tina. Je vais d'abord vous conter l'histoire de ma famille avant d'entamer un quelconque sujet. Alors, ce n'est pas pour rien si mon prénom est italien alors que mon nom de famille provient de Russie, deux pays totalement opposés en tous points. En réalité, ma mère est italienne et mon père Russe. Pour ne pas faire de conflits familiaux, je porte une origine de chaque pays. Je ne vais pas vous embêtez à vous raconter comment mes parents se sont rencontrés. Vous en seriez très vite lassés et changeriez très rapidement de bouquin. Non, ce que je vais vous racontez c'est comment, moi, une jeune fille issue d'une des familles les plus riches de Russie suis tombée tête la première dans la coke et les substances illicites. Comment ? Ce n'est pas encore le sujet ? Dommage, j'aurais pourtant put faire déferlé toutes ces anecdotes et toutes ces pensées assourdissantes à en réveiller les mots. Alors c'est quoi le sujet !? Ah oui ! Un rêve d'enfant ... Ai-je au moins rêver une seule fois dans ma vie ... ou plutôt, est-ce que je me souviens d'un rêve qui daterait de mon enfance ... Je ne sais pas. Je n'en suis plus certaine. Cependant, je peux vous raconter là chose la plus ancienne dont j'ai un jour rêver ! Ca doit dater d'une bonne dizaine d'années, j'avais onze ans à ce moment là, remettez l'époque. C'était dans les environs des fêtes de fin d'années, l'année deux mille soixante-sept s'achevait petit à petit. Je m'en souviens comme si c'était hier. J'étais assise sur mon robot de compagnie. Un gigantesque robot qui m'écoutait au doigt et à l'oeil. Ce n'était encore qu'un prototype mais, avec l'argent que papa avait placé dedans, il pouvait bien fonctionné ! Bref, j'étais donc assise sur ses genoux miroitant de mes yeux ivoire, nos quatre-vingt mètres carrés audio-visuels où était diffusée une chaine en direct de Jupiter. C'était la première fois de mon existence que je voyais une autre autre planète que la terre que je connaissais. J'en avais déjà pourtant entendu parler par mes parents que me faisaient tous les soirs, part de leurs propres connaissances et expériences. Jupiter ... Une magnifique planète. Ils y faisaient une émission de télé-jeu nommée Vie ou mort. Ca datait déjà d'un peu plus d'un ans à l'époque et c'était assez innovent dans le monde du cinéma. En réalité, deux personnes devaient s'affrontées face à face. Le principe du jeu était et l'est encore aujourd'hui, d'accumuler un maximum de points en répondant le plus rapidement possibles aux questions données jusqu'à un certain seuil. Certaine émissions duraient seulement dix minutes que d'autres perduraient une bonne heure et demi. La personne qui n'atteignaient pas ce nombre de points, le participants qui ne parvenait pas à répondre avant l'autre en somme, devait tout simplement, mourir. Un jeu cruel mais, révolutionnaire. Chaque émission se déroulaient toujours dans un lieu différent. Cette fois-ci, c'était un épisode inédit, Jupiter. Je n'en croyais pas mes pupilles. Dés cet instant, ce rêve est né en moi comme un but, une raison de vivre. Ce rêve quel est-il ? Tuer une personne.

Pourquoi !? Me direz-vous ... Non, la question que vous vous posez sans doutes c'est : Pourquoi une telle pensée alors que le thème en question aurait put m'évoquer tout et n'importe quoi comme être animatrice télé par exemple ? C'est simple en fait. L'argent de mes parents m'apportes et m'apportait déjà tout à l'époque. Pourquoi être animatrice alors que je n'avais pas besoin d'argent ? Une seule chose était quasi impossible, tuer. En vérité, les lois actuelle ont changée, c'est seulement l'année dernière que ça a changer mais, jusque là, l'acquisition de vie ou de mort sur une personne devait être acheter. Plus la personne en question était importante et riche et plus cette décision se faisaient chère. D'où la possibilité de racheter sa vie en achetant sois-même ses droits de possession. Comme l'a fait mon père pour ma mère et moi ainsi que lui-même bien entendu. C'était un système élaboré par le gouvernement pour remplir les tiroirs caisses de notre pays. Une solution qui a tout de même fait de nous, les Russes, le pays le plus riche du monde. En contre-partie, il est vrai que le taux de mortalité a grimpé en force d'où l'annulation de cette loi.

Comme je l'expliquais donc, mon rêve de tuer une personne a été accompli une année avant la fin de cette dite loi. C'était une journée d'été, en plein moi d'Aout. Si vous faites le calcul, j'avais probablement vingt ans. Je venais juste d'acheter le contrat de vie ou de mort sur un vieil homme pauvre que je croisais pratiquement tous les jours lorsque je descendait les étroites rues de Moscou pour aller me réapprovisionner en coke. Ce vieil homme venait d'avoir quatre vingt pige. Il vivait seul mais, sa famille s'occupait pratiquement tous les jours de lui venant le voir à n'importe quelle heure de la journée. Moi aussi, ce jour-là. Lorsque j'ai franchis le seuil de la porte d'entrée, il m'appelait de son salon par le prénom de sa fille bien aimée. Alexandra. L'excitation que je ressentais était au maximum, comme lorsque je regardais cette fameuse émission lors des derniers points. Mes pas étaient assez lent dans la maison de cet ermite. Ce n'est qu'arrivé dans son salon qu'il remarqua enfin que je n'étais celle qu'il attendait. C'était déjà trop tard évidemment. Contrat à la main, je l'ai abattu d'un coup de pistolet en plein coeur. Ca s'est passé très rapidement et je suis aussitôt rentrée chez moi continuant mes tâches quotidiennes. Les jours se sont écoulés et aucune pulsation meurtrière ne naissait en moins. J'étais pleinement satisfaite d'avoir accomplis un rêve d'enfance. Ce n'est qu'un bon mois après les faits qu'une bande de gars armés, la police Russe, venait me chercher. Le contrat sur sa vie m'avait été racheter par sa fille Alexandra, une heure avant sa mort, d'où le retard de sa venue. Je purge actuellement toujours ma peine. Je suis condamnée à perpétuité. J'attends une nouvelle loi absurde ... Une loi qui autoriserais à racheter sa peine par de l'argent. L'argent, ce n'est pas ce qu'il me manque. J'ai été trahie par un rêve d'enfant, trahie par une loi absurde.